Don à un fonds de dotation
Que ce soit pour exprimer des valeurs de compassion et de générosité, immortaliser un nom en l’associant à un geste significatif dans la vie de la Maison, contribuer à assurer la pérennité de l’œuvre, honorer la mémoire d’un être cher ou encore prolonger, à perpétuité, son soutien actuel à la cause, toutes les raisons sont bonnes pour créer un fonds de dotation au sein de la Fondation Michel-Sarrazin. Découvrez l'histoire de la création de ces fonds qui, aujourd'hui et demain, viendront adoucir la fin de vie pour des milliers de familles et appuyez les en faisant un don.
Fonds Andrée Bourgeois
Le Fonds Andrée Bourgeois contribue à la pérennité du Centre Bonenfant-Dionne. Bénévole depuis près de vingt ans, Madame Bourgeois, par ce fonds contribue à améliorer et développer des services aux personnes atteintes de cancer en phase palliative et à leurs proches.
Madame Bourgeois a grandi avec des valeurs d’entraide et de partage. Fille de parents philanthropes, elle souhaite à son tour transmettre ses valeurs à ses enfants et petits-enfants.
« Des personnes atteintes de cancer au Centre, j’en ai côtoyées. Elles arrivent avec leur authenticité, leur résilience, leur dépassement. Voir, entendre, accompagner des courageuses qui vivent intensément entre espoir et désespoir. Elles sont dans et avec la vie à 100%.
La bienveillance me tient particulièrement à cœur. Veiller sur l’autre… N’est-ce pas la nature de l’être humain d’être en relation ?
J’en récolte de la gratitude et de l’inspiration. Gratitude à la vie, inspiration de vivre le moment présent, d’apprécier les petits bonheurs au quotidien, de relativiser les embûches, d’accepter les deuils, d’écouter les silences.
J’y ai trouvé des amies de cœur au Centre Bonenfant-Dionne et je me sens privilégiée de faire du bénévolat dans cet environnement accueillant. »
Fonds Angèle Allard
Soucieuse d’appuyer une cause qui lui tient à cœur, Madame Angèle Allard a créé le Fonds Angèle Allard. Par ce geste de grande générosité, elle contribue à assurer la continuité des services offerts à Michel-Sarrazin.
Madame Allard a choisi de créer son fonds par une promesse de don dans son testament.
« N’ayant pas d’enfants, je veux avoir la certitude que l’argent que j’ai difficilement gagné tout au long de ma carrière d’infirmière puisse servir à une cause qui m’est chère comme celle de l'oeuvre Michel-Sarrazin. »
En créant le Fonds Angèle Allard, elle a immortalisé son nom en l’associant à un geste significatif et permanent pour la mission Sarrazin.
Fonds Bernard et Anne-Marie Robert
« Comme il est important, à nos yeux, de léguer notre patrimoine à des organisations qui honorent nos valeurs, nous avons décidé de prévoir un don majeur dans notre testament pour soutenir la Fondation Michel-Sarrazin. La problématique du cancer nous interpellait particulièrement car nous y avons été confrontés à plusieurs reprises alors que la maladie a touché des proches de nos familles. Et, surtout, la philosophie de soins et d’accompagnement pratiqués à la Maison Michel-Sarrazin répondait tout à fait à nos préoccupations.
C’est alors que nous avons tout naturellement franchi le pas et décidé de nous engager et d’investir puisque c’est bien à nos yeux d’un investissement dont il s’agit. »
Fonds Céline et Suzanne Bédard
Description à venir
Fonds Christine Caron et Martin Goulet*
Description à venir
Fonds Claudette et Louis Dionne
« À l'origine, le Fonds Claudette et Louis Dionne a été créé pour favoriser la formation en soins palliatifs des infirmières auxiliaires travaillant dans les Centres hospitaliers de soins de longue durée (CHSLD), en particulier, par une bourse d’études leur permettant de faire un stage de quatre semaines dans un service reconnu de soins palliatifs. À cette époque, la formation des infirmières auxiliaires était plutôt élémentaire. Le Fonds a ainsi favorisé quelques quatre-vingt infirmières auxiliaires. Cependant, depuis quelque temps, nous n'avons reçu aucune demande de la part des CHSLD. La raison invoquée était qu'il existe maintenant divers programmes de formation à leur intention.
Devant ce fait, le conseil d’administration de la Fondation nous a suggéré d’élargir l'objectif pour que le Fonds puisse participer avec les autres sources de financement à la pérennité de l'oeuvre Michel-Sarrazin et c’est ce que nous avons fait.
Nous remercions tous ceux qui contribuent généreusement et nous vous invitons à continuer. Votre générosité permet au Centre Bonefant-Dionne et à la Maison Michel-Sarrazin d’offrir gratuitement les soins aux malades atteints de cancer en phases palliative et terminale. Et ce, depuis trente-cinq années pendant lesquelles la Maison Michel-Sarrazin a suscité le développement des soins palliatifs dans la province de Québec où on compte, aujourd’hui, trente-cinq Maisons similaires à la Maison Michel-Sarrazin. »
Fonds Denise Charest et Jacques Angers
Description à venir
Fonds du Séminaire des Pères Maristes
Description à venir
Fonds Famille Belley-Rouleau
Description à venir
Fonds Famille Pâquerette et Roland Tremblay*
Description à venir
Fonds Famille Tardif*
François Tardif œuvre depuis plus de 16 ans pour la Maison Michel-Sarrazin, d’abord comme professionnel de recherche et depuis dix ans, comme coordonnateur de l’Équipe de recherche Michel-Sarrazin en oncologie psychosociale et en soins palliatifs (ERMOS. Lui et sa conjointe, Catherine Tremblay, ont créé leurs propre fonds de dotation en utilisant une police d’assurance-vie comme levier. Les revenus annuels générés par leur fonds seront dirigés vers la recherche sur les soins palliatifs.
« Cette initiative nous permet de faire un don substantiel à la Fondation et ce, à moindre coût. En plus, nous contribuons à la sécurité financière de l’œuvre de la Maison Michel-Sarrazin et, plus particulièrement, à l’équipe de recherche. Nous souhaitons d’ailleurs en faire un projet rassembleur qui permettra à notre famille de contribuer à cet héritage » explique François.
Fonds Francine de Champlain
Nous connaissons la merveilleuse Maison Michel-Sarrazin, mais connaissez-vous son merveilleux centre de jour en soins palliatifs, le Centre Bonenfant-Dionne, ce lieu unique de soutien, de partage, où le temps s’arrête, où la souffrance est apaisée par une parole réconfortante, un regard bienveillant, un sourire amical?
Ce lieu unique accueille des malades atteints d’un cancer incurable, un diagnostic qui nous plonge dans un désarroi indicible, une détresse frôlant le désespoir. En une fraction de seconde, notre vie vient de basculer ; pourquoi moi ? Pourquoi ?
C’est le vide total où s’entrechoquent les émotions les plus contradictoires. L’incrédulité nous hante, elle nous habite, mais la triste réalité nous rattrape aussitôt, les larmes nous envahissent. Nous avions des projets auxquels nous devons renoncer. Il nous reste tellement moins de temps.
Heureusement, il y a cette ressource extraordinaire, qu’est le Centre Bonenfant-Dionne, ce lieu qui permet aux malades de vivre une forme de bien-être par le partage et le soutien mutuel, où l’on apprend à composer avec la maladie, à ne pas être que la maladie, à s’en distancer, à être dans la vie.
À cet égard, l’atelier d’art thérapie a des effets magiques, quasi curatifs sur l’âme et le corps souffrants. Voilà un soin, parmi les soins palliatifs, qui nous met les deux pieds dans la vie en nous permettant de nous exprimer par la peinture ou le dessin. Tout simplement génial!
Oeuvre réalisée au Centre Bonenfant-Dionne
« Partir dans la douceur de la paix »
Autre moment de vie, parfois intense, c’est la rencontre de groupe où l’on vit de très beaux moments de partage, d’entraide, de solidarité, d’amitié, et d’amour. Ces échanges sont une source de force et de courage qui nous aide mutuellement à rester dans la vie.
Les soins que nous recevons au Centre sont tout simplement l’expression de la bonté humaine dans ce qu’elle peut offrir de très beau, grâce à la générosité et à la bienveillance de ses bénévoles et intervenants dévoués (infirmières, physiothérapeute, travailleurs sociaux, accompagnante par l’art, prêtre, cuisinier-ères et autres).
Le Centre Bonenfant-Dionne m’a aidée à trouver la paix, en renforçant ma résilience. Il m’a permis de rencontrer des gens extraordinaires. Il m’a aidée à trouver un sens à ce qui n’en avait pas, en créant le Fonds Francine de Champlain, un fonds de dotation au sein de la Fondation Michel-Sarrazin, et qui est majoritairement dédié au Centre Bonenfant-Dionne.
Les besoins sont immenses. L’existence d’un tel centre de jour est cruciale pour tous ces très grands malades. Il importe d’en assurer la pérennité.
Un grand merci à tous ceux et celles qui y contribueront.
Fonds Francine Leclerc et Jean-Claude Thivierge
Madame Leclerc et Monsieur Thivierge ont créé leur fonds de dotation en 2014. La création de ce fonds a été rendue possible grâce à la généreuse contribution de 50 000 $ du couple originaire de Québec.
Respectivement retraités du secteur financier et de l’enseignement au niveau secondaire, Mme Leclerc et M. Thivierge ont accompagné des proches atteints de cancer en fin de vie à la Maison Michel-Sarrazin. Le fonds qui porte leur nom permettra à la Fondation de bénéficier des revenus annuels générés par la gestion du fonds.
« Maman est décédée à la Maison Michel-Sarrazin dans le plus grand respect et dans la dignité jusqu’à la fin et nous souhaitons que cette œuvre subsiste encore longtemps. » - Madame Leclerc
« Ce qui nous a motivé à faire ce don majeur, c’est la vie. Cette vie et ce grand respect qui se traduit dans cette maison de soins palliatifs par l’accueil réservé aux personnes admises, la considération des proches et la qualité des soins et des services offerts. » - Monsieur Thivierge
Fonds Georges Daneau
Description à venir
Fonds Ghislaine Lacroix
« Beaucoup d’amis et de membres de ma famille, dont mon père, sont décédés du cancer. Je suis très sensible à cette cause depuis de nombreuses années. Pour moi, la Maison Michel-Sarrazin est tellement importante pour tout le bien qu’elle offre aux malades et aux proches. Je fais des dons pour soutenir cette cause depuis plusieurs années déjà.
Lorsque j’étais en emploi, mes revenus ne me permettaient pas de faire de grands dons. À ma retraite, j’ai décidé d’investir du temps et des ressources dans mes placements financiers. Par cet effort, je chérissais le rêve de faire une différence dans ma communauté, sans savoir quelle forme ça prendrait.
Mon projet vient de se concrétiser, je me suis fait un beau cadeau en créant mon fonds de dotation à la Fondation Michel-Sarrazin, le Fonds Ghislaine Lacroix, par une promesse de don dans mon testament. Je suis très fière et rassurée de pouvoir continuer à faire mon don annuel pour les besoins présents et de collaborer significativement à la perpétuité de l’œuvre par mon fonds.
Je me joins donc à tous ceux et celles qui ont déjà réalisé ce grand projet et à tous ceux et celles qui continuent de le soutenir, année après année, pour que toujours cette Maison existe. »
Fonds Gilles Boivin
Gilles Boivin était un ingénieur diplômé de l’Université Laval de la promotion 1957. Après un bref séjour dans l’armée, dans le Corps des ingénieurs, il a œuvré dans la construction pendant toute sa vie active. Il est marié à Louise Lemieux, chacun ayant trois enfants adultes et autonomes. Parallèlement à sa carrière dans la construction et depuis sa retraite, il a toujours été actif dans le domaine des valeurs mobilières.
C’est pourquoi il a vite saisi les avantages de faire un don en actions provenant de son portefeuille, non seulement pour le reçu délivré par la Fondation, mais aussi pour l’exonération de l’impôt sur le gain en capital des actions léguées.
Il a créé, en 2013, un fonds de dotation qui produit déjà des revenus versés annuellement pour aider la mission de cette œuvre qu’il affectionne. De plus, M. Boivin a prévu une somme importante dans son testament pour être versé au fonds Gilles Boivin, augmentant d’autant plus l’aide à Michel-Sarrazin.
« Beaucoup d’institutions méritoires dépendent de la philanthropie, mais la Fondation Michel-Sarrazin m’a semblé particulièrement valable. L’esprit de la Maison qui dépend presque exclusivement des bénévoles pour sa bonne marche, ce qui fait d’ailleurs sa marque, m’a particulièrement impressionné. Je souligne aussi l’importance du Centre Bonenfant-Dionne qui mérite d’être mieux connu pour l’aide qu’il offre aux malades et leurs proches aidants. Il était donc naturel pour moi que mon choix se porte vers Michel-Sarrazin pour une contribution plus marquante. »
Fonds Hélène de Varennes*
Description à venir
Fonds Jacques Cloutier et Jocelyne Plante
Description à venir
Fonds Jacques Paquet
Description à venir
Fonds Jean-Denis Côté et Gino Yanire*
« Il était impératif pour nous d'assurer la pérennité de cette Maison dont la mission est si importante dans la communauté. Souhaitant que cette œuvre puisse poursuivre encore de nombreuses années, nous avons choisi de nous associer afin de créer notre Fonds de dotation en utilisant la stratégie de l'assurance vie. Nous avons donc pu faire un don substantiel qui survivra à l'usure du temps. »
Fonds Jean-Louis Lévesque
Description à venir
Fonds Jean-Réal Nadeau
« C’est pour moi un privilège de m’associer à l’approche humaniste et respectueuse des soins palliatifs et de la fin de vie qu’offre la Maison Michel-Sarrazin.
Je n’ai pas d’enfants et je prévois qu’après avoir partagé mes legs à mes proches, il en restera. J’ai donc concrétisé mon appui à la Fondation Michel-Sarrazin en prévoyant un don dans mon testament. J’ai aussi décidé de créer mon fonds de dotation il y a quelques années, le Fonds Jean-Réal Nadeau. Comme ça, je sais que je contribue à la pérennité de l’oeuvre et à mes yeux, c’est excellent.
À l’été 2020, j’ai assisté au décès de ma sœur qui n’a pas eu la chance de bénéficier des bons soins de la Maison et qui est partie dans des circonstances difficiles. Cela m’a fait réaliser l’importance d’être bien accompagné pour traverser cette étape très significative de la vie et a accentué mon souhait de soutenir la Maison Michel-Sarrazin pour qu’elle puisse continuer à intervenir avec cœur auprès de ses patients. »
- Jean-Réal Nadeau, donateur membre du Cercle des visionnaires
Fonds Jocelyne Guay
« Depuis plus de 35 ans maintenant, je m’implique pour différentes causes, que ce soit pour les enfants, les gens défavorisés, la santé, la culture et maintenant la Maison Michel-Sarrazin, une maison de soins de fin de vie.
Dès que je suis entrée dans cette Maison remplie de chaleur, de vie, de paix, j’y ai découvert tout un monde, un monde de bienveillance, de générosité et d’amour envers les malades et leurs familles. Je me suis alors dit que cette Maison qui vient en aide à tellement de familles, devrait toujours exister! Le besoin de soins palliatifs pour terminer sa vie dans la dignité est fondamental. Des soins tout à fait gratuits pour tous les adultes qui en sont bénéficiaires et ce quel que soit leur statut social.
Et même si cette Maison existe depuis 35 ans maintenant, en grande partie grâce à la générosité de la communauté, j’espère qu’elle sera toujours fonctionnelle et qu’elle ne manquera jamais d’argent pour réaliser sa mission.
J’ai ainsi choisi de faire ma part et de contribuer à en assurer sa pérennité. Pour ce faire, j’ai créé un fonds de dotation depuis quelques années déjà. Je donne de mon temps, mais la Maison a besoin d’argent également année après année.
Ce legs démontre ma confiance et mon soutien envers cette Maison ainsi que les valeurs d’engagement et de générosité que je porte et que je désire transmettre à ma famille, notamment à mes petits-enfants.
Je souhaite longue vie à la Maison Michel-Sarrazin! »
Jocelyne Guay
Présidente du Conseil d’administration de la Maison Michel-Sarrazin
Fonds Louise et Jacques Moisan
Description à venir
Fonds Louise G. Sicotte et Robert Sicotte
Description à venir
Fonds Madeleine Tardif
Description à venir
Fonds Marcel Guay
Description à venir
Fonds Marie-Claude Bédard et Bernard Jolicoeur*
Description à venir
Fonds Pierre Galipeau
Description à venir
Fonds Pierrette Bernier
Description à venir
Fonds Solange Bernier et Geneviève Vézina
Description à venir
Fonds Thomas Andrew et Mary Ellen Reisner*
« Mon mari et moi avons séjourné pour une période de vingt-cinq jours à la Maison Michel-Sarrazin. Grâce à cet endroit paisible, nous avons vécu ses derniers moments précieux ensemble avec sérénité. La politique de la Maison qui encourage un proche de la famille à partager la chambre avec l’être cher nous permet de vivre le quotidien comme si nous étions chez nous. Lorsque je fais le bilan de notre passage à la Maison Michel-Sarrazin, un profond sentiment de reconnaissance m’envahit. C’est pourquoi j’ai cru important de réaliser un don planifié au bénéfice de la Fondation de la Maison Michel-Sarrazin en souscrivant à une police d’assurance-vie dont la Fondation est propriétaire et bénéficiaire. J’espère ainsi que la Maison Michel-Sarrazin pourra poursuivre sa mission encore longtemps. Je vous encourage, à votre tour, à considérer un don planifié. C’est un cadeau pour la vie. »
*Fonds créés par police d’assurance vie